Mittwoch, 16. Dezember 2009
fuerteventura
am 19. november machen wir uns auf den weg nach der isla de lobos.eine kleine insel zwischen lanzarote und fuerteventura. die südliche bucht ist ideal zum ankern.
gali raus, segel rauf. ruedi steuert und ich fische...beim ersten exemplar, dass ich nach kaum einer minute schleppen, rausziehe ,schreie ich so laut, dass ich selbst darob erschrecke.mir ist es beim anblick dieses monsters nicht ganz geheuer und jedesmal wenn ich ihm in die augen schaue tschudderet es mich. irgendwann hab ich doch als kleines mädchen gelernt wie man fischt...aber so ein ding von der angel nehmen ist gewöhnungsbedürftig.in knapp zehn minuten beissen drei gruselfische an. schuppen und ausnehmen dauert einiges länger. leider schmecken sie nicht so köstlich...
puerto rosario, die hauptstadt von fuerteventura, ist unser nächstes ziel. mit der gali rudern wir an land und parkieren sie in der badebucht im hafen. es müsste schon sehr heiss sein damit ich hier baden würde.
die kleine hauptstadt haben wir bald gesehen.die strassen sind aufgebrochen, kanalisationsarbeiten denke ich...und es heimelet mir fest.
las playitas gefällt uns gut.leider haben wir zu viel schwell aber ein abstecher an land machen wir trotzdem
die lojan im hafen von gran tarajal
...mit ihrer sympathischen crew daphne und rainer
mit dem velo erkunden wir fuerteventura...oder versuchen es wenigstens. auf den hauptstrassen hat es dermassen viel verkehr und wir fühlen uns ein bisschen verloren, ausserdem ist es ziemlich gefährlich.
auf den nebenstrassen hats zu viel sand und so stossen wir uns samt velo durch die gegend
grand tarajal ist klein aber fein.
es ist der erste advent. die weihnachtsdekorationen glänzen im sonnenschein.tagsüber ist es sommerlich warm und vor sonnenuntergang kann man noch gut im cockpit essen.
der winter meldet sich doch auf kanarische art. stürmisches wetter mit regen ist angesagt und so beschliessen wir vorher noch nach las palmas zu segeln.
philippe und diane fotographieren die galileo während dem wir ihre II miles ahead ins visier nehmen
galileo richtung südspitze vor fuerteventura
punta jandia
Cette isla de Lobos fait un abri très agréable avec des fonds de sable blanc une eau claire et une plages bien protégé dans le petit étang. Nous nous amusons à aller à terre avec l’annexe à voiles, puis au retour nous pêchons un peu à la traîne, et surprise un petit poisson après l’autre ; nous connaissons notre menu même si nous ne savons pas ce que c’est comme poisson. Il n’est pas très bon d’ailleurs, plein d’arrête.
Une autre journée de voile au portant tranquille nous amène à Puerto del Rosario, la capitale de l’île où l’on nous fait /se dégager du port pour mouiller dans l’avant-port près d’un ponton rouillé, près pas très accueillant. Mais la ville et ces habitants sont sympas, ici on sent le tourisme à peine.
Nous longeons la côte aride de cette île assez pauvre, jolie à voir de loin, mais désertique à l’intérieur.
Après quelques mouillages, nous arrivons à Gran Tarajal, port agrandi récemment, avec pleines de places vides, pas chère (13€) et une ville très sympas au bord de la plage. Pas de touriste, tranquille, hors du temps, on respire.
Ici nous retrouvons Lojan avec Daphné et Rainer. Un soir, on va danser la salsa ensemble, ils sont trop choux les deux, ils ressortaient s’entraîner dehors de temps en temps, n’osant pas trop se montrer sur la piste de danse, car souffrant du volume un peu excessif de la musique.
C’est ici que nous rencontrons aussi Philippe et Diane, un couple belge sur un Amel, nous sympathisons vite et passons un peu de temps ensemble.
Nous nous trouvons même plus ou moins par hasard à naviguer un bout ensemble, en descendant vers le sud, mais nous nous arrêtons à punta Jandia, encore un de ces mouillages à ne pas rater.
D’ici nous partirons très tôt le matin vers Las Palmas.
Donnerstag, 10. Dezember 2009
lanzarote
am 11. november lichten wir den anker vor graciosa und segeln der westküste lanzarotes entlang.wir lassen die galileo in der marina rubicon und sehen uns die insel mit dem auto an.
küste bei marina rubicon
el golfo
die art und weise in lanzarote wein anzubauen hat uns sehr beeindruckt
jede pflanze wächst in einer tiefen mulde mit eigenem windschutzmäuerchen
hauptattraktion von lanzarotte ist eindeutig der naturschutzpark von timanfaya
die vulkanausbrüche von 1730 bis 1736 und 1824 verwüsteten das westliche viertel der insel fast vollständig. bis zu beginn des 18 jahrhunderts war hier noch fruchtbares kulturland
sympatische parkplatzbelegung
nach so viel feuriger ambiente setzten wir uns ans meer und staunen einmal mehr
En quittant la Graziosa nous sommes ressourcé d’air frais et de balades sur la plage. La navigation le long de la côte ouest de Lanzarote se passe agréablement avec 20kn de vent arrière, très régulier, et assez impressionnant par la côte de roches noir avec d’énormes brisant blancs. Ca nous amène sous le vent de l’île où nous mouillons devant l’entrée de Marina Rubicon, comme si on devait se civiliser un peu avant d’y entrée. C’est un grand complexe touristique, nous ne sommes pas très attiré. Mais le besoin d’une grande lessive nous motive d’y rentrée quand même.
C’est sans surprise, très grand, très cher, très artificiel ;, mais nous sommes accueilli par des voisins de ponton fort sympathique, Daphné et Rainer, un couple d’Allemands un peu plus âgés, sur un bateau très robuste et joli le « Lojan ».
Ils nous font part de leurs découvertes, et comme ils doivent partir le lendemain nous écrivent tout soigneusement sur un papier un guide touristique personnalisé. C’sont eux aussi qui nous apprennent qu’étendre le linge soit interdit. À trente euros la journée, tu parles, on s’en fout, on est venue pour laver le linge.
Mais de toute façon, on préfère repartir au mouillage de la plage de Papagayo qui est qu’à deux milles, et qui est très agréable pour sécher le linge.
Nous retournons tout de même à la marina pour pouvoir laisser le bateau en sécurité et de louer une voiture.
Nous voilà donc en conduisant une voiture, ça fait bizarre, à la découverte de l’île. Île volcanique assez récente, pour avoir des paysages totalement dépourvue de végétation, décor lunaire de coulés de laves noires.
À part ça et le vieux port de Arrécife qui est devenue un mouillages des voileux assez sympas, rien à signaler. Une île sommes toute assez triste.
Nous repartons donc assez vite pour le prochain mouillage, juste en face ; isla de Lobos, à qu’un mille au nord de Fuerteventura.
in der playa papagayio haben wir ideale verhältnisse gefunden um unsere fenster neu zu dichten.
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