wir möchten gerne in nador, dem marokkanischen nachbarhafen von melilla einklarieren. alle raten uns vor diesem vorhaben ab. die politische situation zwischen marokko und spanien ist überstrapaziert. wir verlassen das spanische melilla, setzen die marokkanische und die gelbe flagge und segeln westwärts.in der baie tramontane lassen wir den anker fallen und lassen unsere seele baumeln.im osten der bucht hats viele kleine fischerboote und reger betrieb.im süden vergnügen sich die nachwuchsspieler der marokkanischen fussballmanschaft. frauen, in bunte tücher gehüllt, treiben ziegenherden
dem hügel entlang. esel werden mit lasten beladen und den berg hinauf getrieben. die stimmung ist friedlich. schade haben wir noch nicht einklarieren können, sonst könnten wir jetzt an land gehen.
wir legen uns früh schlafen,da wir bei tagesanbruch nach al hoceima segeln wollen.
um 5h weckt mich ruedi. wir haben besuch auf dem schiff. drei bewaffnete soldaten wollen die galileo samt crew kontrollieren. schnell ziehe ich mich an und die lage entspannt sich bei meinem erscheinen sofort. bonjour madam...ca va bien madam....
wir sind froh, dass unsere besucher die galileo verlassen. frühstücken schnell und lichten den anker.
setzen unsere reise richtung al hoceïm fort. es ist sehr diesig und wir sehen kaum etwas vom festland.
gegen abend erreichen wir al hoceïma. nach mehrmaligen funkversuchen über kanal 16 bekommen wir doch endlich antwort und legen längs an einem fischerkahn an. die fischer sind sehr freundlich.
nach etwa einer halben stunde kommt eine delegation der königlichen gendarmerie, die polizei und der hafenarzt.wir werden nach unserem wohlbefinden gefragt und müssen schön brav fiebermessen...wegen der schweinegrippe.
als gesund befunden verlassen wir die galileo und setzen unsern fuss zum ersten mal auf den afrikanischen kontinent. wir liegen in einer grossen neuen fähranlage und es sieht total verwaist aus. wir erfahren, dass die anlage nur kurze zeit in betrieb war und der fährbetrieb zwischen almeria und malaga eingestellt wurde.
steile serpentinen führen uns hinauf zum stadtzentrum und wir landen auf einem riesigen platz. grosses staunen! hat es doch hier das selbe wasserspiel wie auf dem bundesplatz sogar die beleuchtung ist die selbe...
ansonsten ist natürlich alles anders...hätte mich sonst sehr beunruhigt.
haben lust in einem marokkanischen restaurant etwas zu essen und erkundigen uns...sofort werden wir zu einem touristischen und leeren lokal geführt wo wir freudig empfangen werden...endlich haben die kellner etwas zu tun und wir haben wieder etwas gelernt.
zurück auf der galileo bekommen wir vom fischer einen "kleinen" thunfisch geschenkt.
am nächsten mittag legen wir los. es ist heiss und schwül und wir hoffen auf dem meer etwas abzukühlen.
wir segeln bis zur kalah iris und legen dort im 2004 gebauten kleinen fischerhafen an. wieder werden wir von der königlichen gendarmerie empfangen und nach einer knappen stunde trifft ein arzt mit dem thermometer ein....ich grunze einwenig, schwein gehabt- keine grippe.
am freitag morgen, ruedi will unsere papiere vor der weiterfahrt abholen, werden wir angehalten auf die nächsten beamten zu warten. das drogendezernat aus al hocïma kommt nach einer stunde samt labrador an bord und die galileo wird beschnuppert.
kurz vor 10h geht die reise weiter. alle beamten winken und wir segeln nach el jebha. flautensegeln an der traumhaften küste von marokko! ein erfrischendes bad...wir segeln quasi im schwimmtempo.
kurz vor 16h treffen wir in el jebha ein.der übliche empfang...die ärztin kann auch hier keine grippezeichen bei der crew ausmachen und so machen wir einen ersten spaziergang durch das dorf. werden von mohamed zum tee eingeladen.überall werden wir freundlich begrüsst. wir kraxeln den berg hoch um den überblick zu geniessen. auf der krete werden wir von einer gruppe frauen zu orangina und güetzi eingeladen.
wir geniessen den sonnenuntergang und freuen uns auf die kommenden tage in el jebha.
Melilla, l'enclave espagnole, nous fait une drôle d'impression, ville pleine de clotures et de constructions non utilisées, peu animé, sent le malaise. En nous renseignant pour entrer au Maroc par le port voisin, Nador, on nous le déconseille vivement, il semble que les tensions créer par l'imigration clandestine rendent la situation trop tendue, on nous décrit des cas de bateaux envahie par des dixaines de gens qui veulent quitter l'afrique, sans que la police intervienne ... etc,etc.. finalement nous quittons Melilla dans la direction d' Al Hoceïma. Nous passons le très beau Cap Tetla Madari, ou Très Forcas et mouillons finalement dans la Baie de Tramontane avec le drapeau jaune sous le marocain, et obsèrvent de loin une vie paisible d'un tout petit port de pêche. A l'aube, je me suis tout juste réveillé pour faire le café, je vois un Zodiac qui s'approche avec à son bord trois bonhomes avec des gilets de sauvetage fluo. Ce n'est certainement pas des pêcheurs: "Que faites vous là, c'est interdit, on monte par quel bord" et voilà que deux militaires armé monte à bord et commence à fouiller le bateau. Jess et Simon dorment encore ... l'embiance se détent un peu une fois que Jess s'est levé, bonjour Madame, excuser Madame ... bref, ça va ils nous laisse repartir en paix.
Une journée de navigation sans visibilité aucune. Ca recommence, à Al Hoceïma, ou nous ammarons le long d'un bateau de pêche ou un seul des pêcheurs parle trois mots de français:
à peine arrivé le défilement de la gendarmerie Royale, la Police, le Medecin, paperasse à volonté. Bref nous sommes enfin au Maroc, une belle balade dans cette ville grouillant de vie nous récompense pour les tracasserie administratives. Et à peine de retour au bateau les deux matelots du voisin nous propose en cadeau de bienvenue un petit Thon entier.
Quel dépaysement!
Le lendemain nous demandons la permission d'aller pès d'une petit île à 5nm de là, pour arriver tranquille, c'est non: l'île est encore espagnole, donc interdite d'approche. Mais qu'est-ce qu'ils font encore là ces Espagnoles? Après une matiné de formalités pour partir nous repartons finalement direction Ouest, avec peu de vent et une grosse houle du nord.
Le prochain port que nous connaissons est Al Jebha, c'est à 45nm, mais à un vingtaine de miles il y à un petit nouveau port, (juste après une autre petite île espagnole interdite), dont nous avons aucune info de position précise ni de profondeurs,, le cartes électronique ne le connaissent pas du tout tous ce que nous avons est une image de GooleEarth. Cala de Iris.
Nous y sommes arrivées quand même, avec un peu de suspense en entrant avec la houle qui nous pousse, mais quant-même 4m d'eau dans l'entrée du port. Port tout petit mais très acceuillant. Tous les gendarme de la régions semle être ravie qu'ont aie casser la monotonie de leurs existance. Mais tout ça en toute gentillesse et politesse.
Après une nuit avec pas mal de ressac, au moment ou je vais pour récupérer les papiers pour partir chez notre gardien gendarme: il faut attendre les collègues qui viennent de Al Hoceïma ... une heure plus tard, Un mâitre chien avec son cleps, fait un passage rapide dans le bateau et au revoir et au plaisir.
Est-ce que ça sera comme ça parout et tout les jours? Au moins nous avons tout les jours un medecin à bord qui nous prend la température, grippe porcine oblige.
Belle journé de navigations pépère pour arrivé à Al Jabha, ou l'entre dans la crique Cal Cangrejo, site spéctaculaire et sauvage nous et refusé par un Gardien qui siffle et gesticule sur la colline voisine. Mais petit port très sympat, site magnifique, gens tranquille, gendarmes assez minimaliste et femme medecin charmante. Bon enfin un endroit pour se poser quelques jours pour découvrir le Maroc rural en plein milieu du pay du Kif, le Rif.
Une journée de navigation sans visibilité aucune. Ca recommence, à Al Hoceïma, ou nous ammarons le long d'un bateau de pêche ou un seul des pêcheurs parle trois mots de français:
à peine arrivé le défilement de la gendarmerie Royale, la Police, le Medecin, paperasse à volonté. Bref nous sommes enfin au Maroc, une belle balade dans cette ville grouillant de vie nous récompense pour les tracasserie administratives. Et à peine de retour au bateau les deux matelots du voisin nous propose en cadeau de bienvenue un petit Thon entier.
Quel dépaysement!
Le lendemain nous demandons la permission d'aller pès d'une petit île à 5nm de là, pour arriver tranquille, c'est non: l'île est encore espagnole, donc interdite d'approche. Mais qu'est-ce qu'ils font encore là ces Espagnoles? Après une matiné de formalités pour partir nous repartons finalement direction Ouest, avec peu de vent et une grosse houle du nord.
Le prochain port que nous connaissons est Al Jebha, c'est à 45nm, mais à un vingtaine de miles il y à un petit nouveau port, (juste après une autre petite île espagnole interdite), dont nous avons aucune info de position précise ni de profondeurs,, le cartes électronique ne le connaissent pas du tout tous ce que nous avons est une image de GooleEarth. Cala de Iris.
Nous y sommes arrivées quand même, avec un peu de suspense en entrant avec la houle qui nous pousse, mais quant-même 4m d'eau dans l'entrée du port. Port tout petit mais très acceuillant. Tous les gendarme de la régions semle être ravie qu'ont aie casser la monotonie de leurs existance. Mais tout ça en toute gentillesse et politesse.
Après une nuit avec pas mal de ressac, au moment ou je vais pour récupérer les papiers pour partir chez notre gardien gendarme: il faut attendre les collègues qui viennent de Al Hoceïma ... une heure plus tard, Un mâitre chien avec son cleps, fait un passage rapide dans le bateau et au revoir et au plaisir.
Est-ce que ça sera comme ça parout et tout les jours? Au moins nous avons tout les jours un medecin à bord qui nous prend la température, grippe porcine oblige.
Belle journé de navigations pépère pour arrivé à Al Jabha, ou l'entre dans la crique Cal Cangrejo, site spéctaculaire et sauvage nous et refusé par un Gardien qui siffle et gesticule sur la colline voisine. Mais petit port très sympat, site magnifique, gens tranquille, gendarmes assez minimaliste et femme medecin charmante. Bon enfin un endroit pour se poser quelques jours pour découvrir le Maroc rural en plein milieu du pay du Kif, le Rif.
