Donnerstag, 10. Dezember 2009

lanzarote


am 11. november lichten wir den anker vor graciosa und segeln der westküste lanzarotes entlang.wir lassen die galileo in der marina rubicon und sehen uns die insel mit dem auto an.


küste bei marina rubicon

el golfo

die art und weise in lanzarote wein anzubauen hat uns sehr beeindruckt

jede pflanze wächst in einer tiefen mulde mit eigenem windschutzmäuerchen

hauptattraktion von lanzarotte ist eindeutig der naturschutzpark von timanfaya

die vulkanausbrüche von 1730 bis 1736 und 1824 verwüsteten das westliche viertel der insel fast vollständig. bis zu beginn des 18 jahrhunderts war hier noch fruchtbares kulturland









sympatische parkplatzbelegung



nach so viel feuriger ambiente setzten wir uns ans meer und staunen einmal mehr

En quittant la Graziosa nous sommes ressourcé d’air frais et de balades sur la plage. La navigation le long de la côte ouest de Lanzarote se passe agréablement avec 20kn de vent arrière, très régulier, et assez impressionnant par la côte de roches noir avec d’énormes brisant blancs. Ca nous amène sous le vent de l’île où nous mouillons devant l’entrée de Marina Rubicon, comme si on devait se civiliser un peu avant d’y entrée. C’est un grand complexe touristique, nous ne sommes pas très attiré. Mais le besoin d’une grande lessive nous motive d’y rentrée quand même.
C’est sans surprise, très grand, très cher, très artificiel ;, mais nous sommes accueilli par des voisins de ponton fort sympathique, Daphné et Rainer, un couple d’Allemands un peu plus âgés, sur un bateau très robuste et joli le « Lojan ».
Ils nous font part de leurs découvertes, et comme ils doivent partir le lendemain nous écrivent tout soigneusement sur un papier un guide touristique personnalisé. C’sont eux aussi qui nous apprennent qu’étendre le linge soit interdit. À trente euros la journée, tu parles, on s’en fout, on est venue pour laver le linge.
Mais de toute façon, on préfère repartir au mouillage de la plage de Papagayo qui est qu’à deux milles, et qui est très agréable pour sécher le linge.
Nous retournons tout de même à la marina pour pouvoir laisser le bateau en sécurité et de louer une voiture.
Nous voilà donc en conduisant une voiture, ça fait bizarre, à la découverte de l’île. Île volcanique assez récente, pour avoir des paysages totalement dépourvue de végétation, décor lunaire de coulés de laves noires.
À part ça et le vieux port de Arrécife qui est devenue un mouillages des voileux assez sympas, rien à signaler. Une île sommes toute assez triste.
Nous repartons donc assez vite pour le prochain mouillage, juste en face ; isla de Lobos, à qu’un mille au nord de Fuerteventura.


in der playa papagayio haben wir ideale verhältnisse gefunden um unsere fenster neu zu dichten.

1 Kommentar:

Suzanne hat gesagt…

das sieht ja alles so friedlich aus,vielleicht auch so etwas zwischen Mondlandschaft und irdischem Paradieschen?!
le vignoble a fière allure, vu du ciel cela doit ressembler à une jolie fleur.absolument délicieux ces taxis du désert en rang d'oignon...
et le sunset fait tout simplement rêver !!!
bisous en direction du sud