Silvan kommt am 22. Januar um 1h früh in sal an. Die ersten tage verbringen wir mit auspacken . ..ersatz für die gestohlenen dinge, zeitungen aus der heimat und eine reihe kulinarischer köstlichkeiten hat er im gepäck.
Bin überglücklich und freue mich auf die gemeinsamen tage
Am 24. Januar segeln wir los richtung boa vista
zum auftakt gibts eine wunderschöne sonnenuntergangsstimmung
Am morgen sehen wir die ersten delfine und werden lang von ihnen begleitet.Sogar wale sehen wir spielen…leider sind sie zuweit weg um fotographiert zu werden
An der praia de santa monica ankern wir und während dem ruedi ankerwache macht gehe ich mit silvan an land oder besser gesagt in den sand....
mit sonnenbrille ...versteht sich
galileo scheint zu halten
wir entdecken ein grundwasserloch hinter den dünen . lastwagen tanken hier süsswasser und bringen es zur baustelle
der wächter des grundwassers hat uns zwar gesehen aber wir scheinen vertraunenswürdig und er legt sich gleich wieder hin.
die trockene erde lehnt sich auf
menschen hinterlassen spuren im sand
beim weitersegeln taucht eine riesenüberbauung auf...das wär sie jetzt wohl, die baustelle
schwarze wolken ziehen auf und steuermann silvan macht ein ernste gesicht
auf der seekarte hat ruedi eine kleine bucht entdeckt. drei palmen und ein anker....nur mit dem vergrösserungsglas auszumachen. damit wir wracks und untiefen umsegeln können schicken wir silvan auf den mast. er hält ausschau und bringt uns sicher in die bucht
wir glauben es kaum...da sind sie wirklich unsere 3 palmen
der kapitän ist glücklich und zufrieden
orvatao ist ja eine richtige oase
silvan macht noch fotos aus luftiger höhe, der anker hält und alle drei begeben wir uns an land
strandspargeln blühen
die herren diskutieren
und dann umwandern wir die oase
nicht nur wir geniessen diesen frieden und diese schönheit
Sal
Voilà que nous retrouvons un rendez-vous des navigateurs. La plus part des voiliers qui arrivent des Canaries atterris à Palmeira sur Sal. C’est un port ouvert vers le sud qui permet à beaucoup de bateaux d’y mouillé. C’est ainsi que nous retrouvons pas mal de copains et que nous rencontrons un tas de nouveau. L’ambiance est décontractée, les jeunes d’ici sont sympas, un peu alcool mais sans agressivité.
Palmeira est tout petit, on connais vite tout le monde, le marché, la banque et la poste sont à sept Km à Espargos, petite ville nouvelle à côté de l’aéroport. Sal est une île basse, balayé par le vent, sans un arbre, que désert et plages. C’est pour cela qu’au sud de l’île il y a des hôtels, l’île vit du tourisme, mais on ne le sent pas trop à Palmeira, seul port de l’île.
Après quelques jours, de retrouvaille avec des amis et de découverte de l’île Silvan arrive comme prévue à une heure du mat mais avec 24h de retard, il a du passer une journée à Lisboa …
Il nous amène donc les remplacements d’objets volés et plein d’autres pièces de rechange, chocolats et autres fromages. Ainsi équipé nous attendons que le vent revienne pour partir via Santa Maria, la belle plage touristique de Sal, vers Boavista.
Boavista
Autre morceau de Sahara égaré dans l’Atlantique.
En s’approchant de l’île nous sommes accueilli par de centaines de dauphins qui sautent et s’amusent et pour combler la journée nous voyons au loin quelques baleines qui sautent puis plongent en montrant leur queue.
Nous étions déjà passé vite fait à Boavista en remontant de Praia ; nous voulions nous reposer une nuit, nous sommes donc rentré dans la baie de Sal Rei, au sud de la petite-Île … en s’approchant du mouillage, ou il y avait un petit cargo et quelques voiliers, nous sommes surpris pas quelques déferlantes étonnantes, ok, il y avait pas mal de houles de nord-ouest et comme les fonds monte dans la baie ça déferle de temps à autre, très désagréable, nous essayons donc de rentrer jusqu’à derrière l’île pour y être à l’abri de la houle et nous y mouillons sur 4m de fond. Mais même ici la houle nous fait faire des bonds incroyables qui donnent de coups telle à la chaîne d’ancre que je crains de la casse, nous repartons donc vite fait.
Bon nous y voilà de retour, cette fois la mer semble plus calme, mais comme nous y arrivons de nuit c’est plus difficile d’en jugé de loin, nous sommes bien rentré n’ y avait que deux bateau au mouillage, et il n’y avait pas de houle cette fois ci.
Mais le lendemain nous continuons le long de l’île pour aller vers un récif au large entre Boavista et Maio qui est réputé d’être un endroit préféré des baleines. Nous faisons donc 20miles vers le sud sous Spi puis 20miles au près pour revenir près de la plage de Santa Monica au sud de Boavista sans voir ni Baleines ni dauphins …
Le mouillage est assez bien abrité du NE et le vent n’est pas trop fort, la plage est belle, tout va bien. La météo annonce du vent de NO faible, ce qui me donne l’idée d’aller voir une petite baie sur la pointe est de l’île, ce qui normalement par vent fort de NE doit être impossible, sur la carte un dirait un repaire de pirate, pleins de récifs et d’épaves autour une petite baie avec une plage en demi-lune et trois palmiers, faut aller voir si possible.
Le vent est encore au NNE, mais pas très fort nous nous mettons donc en route pour trouver cette petite baie.
Et en fait quel endroit de rêve : en effet les trois palmiers sont bien là, mais à côté il y a tout un Oasis, que deux baraques de paysan, sinon rien, magnifique, nous pouvons mouiller au milieu de la baie sur 6m de fond, l’eau est turquoise, la houle ne rentre que très peu, nous y restons quelques jours.
En parant vers Santiago nous repassons près du récif à baleine et cette fois ci nous avons la chance d’en voir un qui saute à plusieurs reprises, pas loin d’un pêcheur à la voile, impressionnant, mais nous n’arrivons pas à voir ce que c’est comme baleine.
1 Kommentar:
aha,die Ersatzgeräte sind installiert und es funktioniert wie man sieht...TOLL!
Strahlende Frau, strahlende Männer, strahlende Sonne, blauer Ozean, weisser Sand und eine hübsche Oase, was will man den mehr? c'est un rêve, tout simplement !
et...Silvan fait vraiment bonne figure sur son mât et à la barre, un vrai marin quoi....
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